Le savoir, tel un jardin, n’a pas besoin d’être infini pour être fertile. En cueillir quelques fleurs, s’en émerveiller et s’immerger dans leur essence, voilà l’art de la connaissance. Car en vouloir trop, c’est risquer de se noyer dans l’océan de l’ignorance.
Avec quelques connaissances, la méditation, l’écoute intérieur et le discernement… la connaissance vient tout simplement à soit même. Quand l’homme est apparu, la connaissance est apparue également au même moment. Soyons juste là pour l’écouter et l’accueillir. Elle est de notre nature.
Le maitre veut rester le maitre, le disciple veut reste le disciple. L’enseignant veut rester l’enseignant, l’élève veut rester l’élève.
L’enseignant nourrit son égo grâce à ces élèves. Il fini par perdre le sens. Et l’élève attend l’approbation de l’enseignant.
Le passeur témoigne de la vibration qu’il a perçu, là où le mental c’est endormie.
Alors soyons ce passeur d’une connaissance que nous avons réussit à surfer au moment où la vague de l’expérience c’est manifestée dans la dissolution.
La connaissance éternelle est là, tapie dans l’ombre, attendant patiemment que le tumulte intérieur se taise pour enfin se révéler.